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LES AFFAIRES

Développé durant la première guerre mondiale, l'espionnage est devenu affaire courante durant la Guerre Froide.                              

La CIA et de le KGB, (agences américaine et soviétique) ont organisés de multiples travaux. Ces travaux incluaient des assassinats et entre autre la déstabilisation de l'adversaire. Mais le but premier de l'espionnage est la cueillette d'information en secret, le renseignement qui nécessite en général l'utilisation de moyens ingénieux. Les opérations de guerre secrète doivent, par nature, échapper à la connaissance du public.

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Par contraste, les opérations réussies demeurent dans l’ombre. Il faut attendre la retraite ou la disparition des acteurs, la publication éventuelle de leurs souvenirs, les recherches croisées des historiens facilitées par l’ouverture normale (conforme aux délais légaux de déclassification) ou exceptionnelle (après l’effondrement des appareils d’État ou des régimes concernés) des archives, pour qu’une vision plus complète, plus nuancée et plus équilibrée se fasse jour.

Alors seulement des citoyens ordinaires peuvent avoir connaissance, par exemple, des succès britannique d’« Ultra », américain de « Venona », français de « Farewell » ou soviétique de « Georges Pâques  » … Après l’ombre vient la lumière.

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Parfois, cependant, du fait du hasard et/ou d'erreurs commises dans la conception ou l’exécution de ces entreprises, leur échec est divulgué et prend une tournure spectaculaire, retentissante. Les médias s’en emparent, la classe politique en débat, l’opinion publique s’en émeut, au moins jusqu’à un certain point... Dans ces cas là, si  l'espion concerné a trahi son pays, il est rattrapé par les autorités, torturé, tué ou mis en prison. Parmi plusieurs cas fameux, d’origines et de portées fort différentes, des scandales ont été causés par les révélations, immédiates ou différées, sur les « Cinq de Cambridge » pour les Britanniques… Même en Union Soviétique, où l’information est contrôlée par un régime totalitaire, la paranoïa stalinienne de l’espionnage et de la trahison créent des scandales à répétition, amplement répercutés par les médias officiels.

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